Une indemnité n’est ni une rémunération ni un salaire. C’est d’ailleurs pour cela qu’elle n’est jamais imposable ! C’est en réalité une compensation qui varie en fonctions des contraintes que peut représenter un essai clinique. En France, il est important de savoir que la règlementation impose un plafonnement à 6 000€ par an et par personne. Pourquoi ? Pour garantir la sécurité des volontaires et éviter les abus de tests cliniques, contrairement aux États-Unis où il n’existe pas de plafond ! Les volontaires peuvent donc participer à un nombre indéfini d’études cliniques. Pour l’anecdote, certains volontaires américains se font appeler « Professional tester » !

Participer à un essai clinique (aussi appelé étude ou test clinique) peut être synonyme de contraintes. En effet, ce montant qui est discuté et validé au préalable entre le laboratoire développant son médicament et Biotrial, est calculé en fonction des paramètres de l’essai clinique choisi, par exemple le nombre de jours d’hospitalisation, le nombre de visites de suivi (Rennes/Nantes/Paris), la récurrence des examens, les repas imposés etc. Ce nécessite donc de dégager du temps pour venir au centre effectuer l’essai clinique en question. Cette indemnité est un complément de revenu net non imposable qui peut aller jusqu’à 6 000 euros par an.

Une fois l’étude clinique terminée, en règle générale l’indemnité est envoyée au volontaire par voie postale sous un délai de 15 jours. Pour les études se déroulant sur plusieurs mois, un ou plusieurs acomptes peuvent être versés à certains moments clé de l’étude. Cela permet de pouvoir profiter d’un complément de revenu rapidement tout en aidant la recherche médicale ! Plutôt gratifiant non ? Beaucoup de nos volontaires souhaitent participer à un essai dans le but de financer leurs vacances ou bien un projet professionnel… On appelle ça du 2 en 1 ! Alors, à votre tour de vous lancer ?